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Le rapport de parcelle
Valeriya avatar
Écrit par Valeriya
Mis à jour il y a plus de 4 mois

Le rapport présente plusieurs informations sur votre parcelle : zones de productivité historiques, clarté du sol et relief.

Nous vous recommandons de consulter d’abord le rapport sur les parcelles pour voir combien de saisons sont prises en compte lors de la définition des zones de productivité. Plus le nombre de saisons utilisées est élevé, plus les zones de productivité seront déterminées avec précision. Pour rappel, les parcelles adaptées à l’application à dose variable répondent aux conditions suivantes : leurs zones de productivité ont été appropriées pendant au moins trois saisons (c. à d. l’emplacement des zones de productivité élevée, moyenne ou basse a été constant d’une saison à l’autre) et les zones stables couvrent plus de 40 % de la surface totale de la parcelle.

Vous pouvez ensuite évaluer les zones de productivité pour voir si elles correspondent à vos propres observations du potentiel de productivité des parcelles. Comparez les zones de productivité avec le relief et la clarté du sol pour identifier des schémas communs et assurez-vous que les zones de productivité représentent effectivement le potentiel de la parcelle.

Si, pour une raison quelconque, vous pensez que les données NDVI ne devraient pas être utilisées pour définir les zones de productivité, cliquez sur « Modifier » et retirez les saisons que vous ne voulez pas utiliser dans les calculs. Cliquez ensuite sur « Appliquer » pour que vos zones de productivité soient redéfinies. Notez qu’il faut au moins deux saisons pour définir les zones de productivité.

Quand cela peut-il être utile ?

Lors de la définition des zones de productivité, nos algorithmes sélectionnent les images satellite qui représentent le développement des cultures à un certain stade de croissance, au moment où les données NDVI sont fortement corrélées avec le rendement effectif. Cependant, dans certaines situations, il n’est pas recommandé d’inclure certaines saisons dans le calcul. C’est le cas, par exemple, lorsque :

  • vous savez que la parcelle a été divisée en deux parcelles au moins au cours d’une saison donnée ;

  • vous déterminez qu’une image satellite masquée par la couverture nuageuse a été utilisée pour calculer les zones de productivité ;

  • vous savez que la parcelle a subit une anomalie au cours de la saison (adventices, sécheresse ou engorgement).

En étudiant ces trois couches de données, vous pouvez en déduire les 4 facteurs qui limitent le rendement dans la zone de faible productivité :

  1. Érosion

  2. Engorgement

  3. Salinité

  4. pH faible

💡 Passez la carte en plein écran pour comparer les différentes couches entre elles.

Examinons quelques exemples. L’illustration ci-dessous montre que la zone de faible productivité présente un relief élevé et un sol clair. Cela indique qu’un faible taux d’humidité et de nutriments limitent probablement le rendement dans la partie supérieure de la parcelle.

Dans le second cas, la zone de faible productivité est située dans une zone de basse altitude avec des niveaux élevés de matière organique et de nutriments. Cela signifie que la parcelle subit l’engorgement année après année.

💡 Vous souhaitez améliorer la topographie de votre parcelle ? Lorsque vous visualisez la parcelle ou créez la carte de modulation, utilisez l’outil de visualisation en 3D.


Vous savez désormais dans quels domaines la technologie de modulation peut être utilisée. Maintenant que vous connaissez toutes les caractéristiques de votre parcelle, il est temps de mettre en place un essai et de créer des cartes de modulation pour tirer le meilleur parti de votre sol !

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